Nous sommes enfin en mesure de révéler l’identité véritable de Maï Maxi. Bien qu’initialement identifiée comme le sosie de Gnalen Kaba, la fille de l’ancienne Première Dame de la République de Guinée, SITANEWS a désormais accès à des informations plus détaillées sur cette jeune femme sage.
Kourouma Maïmouna, de son vrai nom, est originaire de Guinée. Elle a quitté son pays natal à un jeune âge pour continuer ses études aux États-Unis d’Amérique. Passionnée par le monde de la beauté, elle a été couronnée première dauphine de Miss Guinée Amérique du Nord en 2017. Maï Max est une jeune femme ambitieuse et déterminée à réussir dans cette industrie exigeante.
C’est intéressant de savoir que Maï Maxi est très attachée à ses origines. On a pu la voir pour la première fois lors des 72 Heures du Livre à Conakry en 2018, au Centre Culturel Franco-guinéen. Elle a eu le privilège de rencontrer l’ex-première dame, Hadja Djenè Kaba Condé, et ils ont eu une courte relation loyale.
Elle pose avec l’ex-première dame – GUINÉE
Il faut comprendre que Maï Maxi est titulaire d’un diplôme en gestion des ressources humaines aux États-Unis. Elle a ensuite obtenu un emploi chez United Biosource Corporation, une compagnie spécialisée dans la vente et la fabrication de médicaments spéciaux. Dans cette entreprise, elle travaille en tant que programmatrice et gestionnaire dans le département d’immunologie depuis maintenant 4 ans.
En effet, Maï et Gnalen sont deux personnes distinctes malgré leur ressemblance frappante. Il est important de ne pas confondre ces deux personnes différentes.
Maï Maxi n’est pas la fille biologique de Feue Djènè Kaba. C’est désormais connu. Mais leur relation était si forte qu’on ne pouvait en savoir tout de suite. Dans quelle circonstance se sont-elles connues ?
« Je collectionnais les kits scolaires pour envoyer dans les écoles guinéennes. C’est dans ces aventures humanitaires-là que j’ai rencontré la première Dame [Hadja Djènè Kaba Condé]. Cette dame d’un altruisme exceptionnel s’est engagée foncièrement dans ce projet avec moi à travers sa fondation PROSMI. Elle m’a soutenue. C’est à travers cette relation qu’elle m’a pris comme sa fille adoptive. Dieu a fait qu’on s’est aimés et on a continué à travailler ensemble pour soutenir les enfants démunis et les femmes. » Nous confie, la jeune femme happée d’émotions par la mort de sa tendre « mère ».
Le temps n’a pas d’importance…. Il y a des personnes qui marquent nos vies pour toujours, même si cela ne dure qu’un moment. Ainsi va la vie.
Sitanews.net
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